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Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Bien, este es uno de los discos de 2011 que más ganas tengo de escuchar.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Gran noticia!! Por cierto, alguien sabe dónde encontrar las letras del 3º choix?? es que no las encuentro por ninguna parte.
I'm on my way to hell.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Yo las escribí a mano en su día en el post sobre el disco, pero se perdió y como que paso de hacerlo otra vez jajajaja.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
alcatraz escribió:mmm m novedades:
para descargar el 31 de octubre y en formato fisico el 5 de diciembre..... jode que ganas....
Sacado de su facebook:
Salut tout le monde. Ce post pour vous expliquer un petit peu le déroulement des choses à venir! Bagdad sortira en version numérique le 31 Octobre, et nous l'enverrons également à partir de cette date à tous ceux qui l'ont déjà commandé, seul ou en triptyque. La sortie physique, elle, sera pour le 5 Décembre. Voilà voilà!
Merci du soutien! Il est encore temps de commander pour l'avoir dès la fin Octobre!
http://www.agorafidelio.com/
Mi frnacés no es gran cosa, que se supone que nos van enviar a los que hemos hecho el preorder en su dia? una versión cutre y luego en diciembre la versión normal?
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
mskmsr escribió:Gran noticia!! Por cierto, alguien sabe dónde encontrar las letras del 3º choix?? es que no las encuentro por ninguna parte.
A ver si lo localizo por casa y si vienen en el libreto que no lo recuerdo te las escaneo.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
pijusmagnifikus escribió:alcatraz escribió:mmm m novedades:
para descargar el 31 de octubre y en formato fisico el 5 de diciembre..... jode que ganas....
Sacado de su facebook:
Salut tout le monde. Ce post pour vous expliquer un petit peu le déroulement des choses à venir! Bagdad sortira en version numérique le 31 Octobre, et nous l'enverrons également à partir de cette date à tous ceux qui l'ont déjà commandé, seul ou en triptyque. La sortie physique, elle, sera pour le 5 Décembre. Voilà voilà!
Merci du soutien! Il est encore temps de commander pour l'avoir dès la fin Octobre!
http://www.agorafidelio.com/
Mi frnacés no es gran cosa, que se supone que nos van enviar a los que hemos hecho el preorder en su dia? una versión cutre y luego en diciembre la versión normal?
Mi francés tampoco es la polla, pero creo que pone que el 31 de octubre se lo envían a los que han hecho el preorder y el 5 de diciembre ya sale para todo el mundo.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Si lo has comprado en versión digital te lo mandan a partir del 31 versión sencilla o tríptica. Luego saldrá a las tiendas el cinco.
Sería de mucha ayuda esas letras!! hay algunas en internet pero no todas!! gracias de antemano!
Sería de mucha ayuda esas letras!! hay algunas en internet pero no todas!! gracias de antemano!
I'm on my way to hell.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Wirrak escribió:pijusmagnifikus escribió:alcatraz escribió:mmm m novedades:
para descargar el 31 de octubre y en formato fisico el 5 de diciembre..... jode que ganas....
Sacado de su facebook:
Salut tout le monde. Ce post pour vous expliquer un petit peu le déroulement des choses à venir! Bagdad sortira en version numérique le 31 Octobre, et nous l'enverrons également à partir de cette date à tous ceux qui l'ont déjà commandé, seul ou en triptyque. La sortie physique, elle, sera pour le 5 Décembre. Voilà voilà!
Merci du soutien! Il est encore temps de commander pour l'avoir dès la fin Octobre!
http://www.agorafidelio.com/
Mi frnacés no es gran cosa, que se supone que nos van enviar a los que hemos hecho el preorder en su dia? una versión cutre y luego en diciembre la versión normal?
Mi francés tampoco es la polla, pero creo que pone que el 31 de octubre se lo envían a los que han hecho el preorder y el 5 de diciembre ya sale para todo el mundo.
Eso es lo que entiendo yo, pero es que me pierdo con eso de la versión sencilla o triptica...
Mskmsr, si mañana tengo un poco más de memoria que esta tarde tienes las letras que ya tengo aqui apartado el cd, pero tengo que escanearlo en el curro que lo he intentado fotografiar para subirtelas ahora pero con la camara del movil quedan bastante chunga la cosa.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Lo de la versión será en función de si haces el preorder solo de este ep o has hecho ya el de los tres, que supongo que la caja será distinta para que puedas meterlos. Imagino un rollo parecido al Mesmerize/Hypnotize de SOAD.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Une époque formidable
c'est une époque formidable
on parle tout seul
on vit sur les écrans
par la chaleur, on se cache
on meurt tout seul
on oublie ses parents
samedi soir en pagaille
le diable au corps
la douche pour oublier
tous ces traits se fixent au fond
on fuit encore
la semaine pour assumer
ravale l'amérique
ils sont loin
ils sont loin de nous
c'est le début d'autres siècles
on vit encore
on marche avec nos pieds
comme avant, le coeur y est
on tue encore
pour l'amour des enfants
on ne prêche que ceux qui croient
la guerre décore
pour soigner le dedans
c'est la marche avant les autres
on crie encore
on baise pour oublier
ravale l'amérique
ils sont loin
ils sont loin de nous
c'est une époque formidable
on parle tout seul
on vit sur des écrans
c'est la marche avec les autres
on crie encore
on baise pour oublier
on baise pour oublier
alors autrant se le rappeler
Palatina
elles sempblent tellement loin
les prairies vertes
où sourit l'essence noire
de ceux qui en ont besoin
perdu
au fond de mon lit
je cache au moins
deux, trois cadavres nus
palatina...
elle sent le cellophane
elle ne pousse même plus
ou en diagonale
en parler est profane
j'y touchais quelque temps
la terre est sur ma peau
ce jardin fut le mien
je suis ceux qu'on condamne
y penser pur nous panser, tant qu'on s'y perd,
on se retrouve espérant au plus profond de nos soupirs
on peut se prendre pour des hommes presque heureux de leur sort
rien qu'en l'imaginant, ça suffit puor se dire
que le bonheur existe, même si c'est en prose,
la fuite est ridicule alors on court, on va et on y vient.
on se questionne sur le bonheur, comme des cons.
mais toi, tu crois quoi? que je vais mieux? mais tu m'as vu?
sache que je n'ai pas changé.
au fond, tu crois quoi? au juste? aux choses? aux gens?
à la même chose que moi...
palatina
Ma Violence
je ne pensais pas
avoir besoin
d'autre que moi
pour me faire du mal
comme un grand
je dessinais
l'enfer
à ma fenêtre
chaque choix
chaque nouvelle
comme une ironie
laissait du sang
toutes les pièces
d'un jeu d'enfant
tombaient
au fond de moi
une à une
puis te voilà
j'aurais cru voir le ciel
ave maria
je te saluais si bas
mais tu as su montrer
le pire en toi
tu es la peste
tu es le cholera
et il faudra
m'arracher la mémoire
comme on arrache des dents
comme ton sourire
dieu jugera les siennes
si seulment il existait
alors je t'oublierai
et avant, j'arracherai les tiennes
une à une
Finir à Paris
premièrement
regarder bien en face
en suivant
se la jouer moins sauvage
comme des chiens
comme des hyènes
ils encerclent
ils attaquent
convoiter
pourchasser
je préfère vomir
alors je pars comme on en pleure
on vit la même peine comme la seule issue
la même fuite en nous
parallèle
deuxièmement
la vue des autres agace
c'est le temps
que panse et qui efface
quand c'est l'heure
il est temps
d'accepter
avaler
un voyage
le dernier
pour toutes une fois, finir
pars comme on en pleure
on vit la même peine comme la seule issue
la même fuite en nous
parallèle
on poura finir à paris, comme les romans
comme les monuments, ceux qu'on avait pas fini de visiter
finir à paris, comme la seule histoire qu'on voulait écouter.
Laisse Moi Me Perdre
Il est de ces soleils
qui naissent ente les pierres
là où coule l'eau noire
le goudron et la bière
il est de ces soleils
qui naissent sans espoir
et ces rayons réchauffent
les chairs trop confortables
la peau qu'on croit trop blanche
et la voix trop aimable
et ces rayons réchauffent
le temps gris des dimanches
c'était là qu'on habitait
l'air y était plus ferme
la terre plus pure que d'autres aujourd'hui
c'est des routes qu'on dessinait
peintes de mille manières
avec la sueur, les larmes, presque rien
laisse-moi me perdre
laisse-moi chercher
peut-être vivrai-je seul
peut-être mieux du mauvais côté
laisse-moi faire
laisse-moi la clé
des portes ouvertes ensemble
peut-être saurai-je me retrouver
seules quelques lumières
rêvées le long des ombres
au bord de rues humides
au milieu des décombres
seules quelques lumières
sous quelques pluies acides
il et de ces mirages
qu'on voit en plaine vie
ivre de plaine conscience
dans la foule et le bruit
il est de ces mirages
qui défient la défiance
c'est moi que disparaissais
aux couleurs de l'espagne
le rouge, c'était ton sang comme le mien
c'est là que s'est arrêtée
la vie dont tout le monde réve
que tout le monde sait salir aussi
laisse-moi me perdre
Mourir
mourir
en faire juste une étape
comme un désir
ancien de fuir les larmes
en finir
pour le bian de quelqu'un
courir
pour éviter les armes
sentir
tout les poids que l'on lâche
comme le meilleur
moment de fuir ses instincts
rèver à
s'en aller sans fièvres
comme un avant, comme un après
dans la même calme
idée
criore à la vie sans l'autre
comme au surnaturel
comme aux guerres sans morts
pusser
le vice du fon de coeur
sans gangrène
s'amputer soi-même
d'une vie a l'autre
essayer d'en partir
essayer d'y aller
essayer, revenir
essayer, d'essayer
De La Non Nécessité du Courage
c'est bien avant l'orage
que j'ai revu la pluie
ruisseler sur mon corps
couvrir ma peau de perles
comme les vagues qui déferlent
à l'est, à l'ouest, au nord
du find de mon esprit
du plus profond des âges
parcourir les nuages
avant qu'il ne fasse nuit
que vienne notre mort
l'entropie des idées
la fin de l'être aimée
pour revenir plus fort
échouer de vie en vie
réussir sans courage
je ne promets rien
qui ne promet rien
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux désillusions
qui ne sourit pas
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux affusions
qui ne promet rien
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux désillusions
qui ne sourit pas
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
á trop de vibrations
trop de vibrations
je ne promets rien
On Sème
je pourrais comme d'autres, vomir des états d'âmes
cracher le fiel des anges
je pourrais comme ta colère éclater sur des portes closes
à faire tomber les murs
ad vitam eternam
tu pourrais comme d'autres rester en la demeure d'obscurs faiseurs de sorts
les parents de ta soeur
tu puorrais comme avant user la corde raiderecoir la vie en rouge
sans trouver de remède
ad vitam eternam
on pourrais pour longtemps recommencer la ronde des onomatopées
que le silence féconde
on pourrais pour autant dire que c'est tout juste si les mots refleurissent
se relèvent les bustes
on cultive des fruits dont le goût est amer
dont la chair est sucrée, qu'on sait insaisissables
on refait des objets qu'on ne savait plus faire
qu'on fait sans toucher terre pour s'en croire capable
quand je pense à hier, quand il fait froid dehors
on cultive
quand je pense à l'été, quand tu cries un peu fort
quand je me donne en spectacle, quand tu pleures
on cultive
quand tu me fais mal, quand je compte tes heures
quand on est innocent, quand on est coulpable
on cultive
quand j'ai peur de moi, quand j'en suis capable
quand tu ne bandes pas, quand je claque la porte
on cultive
quand on ne se comprend pas, quand je te frappe
quand on se trompe, quand je pars
on cultive
quand tu tombes, quand on se rattrape
quand je tremble, quand tu m'envahis
on cultive
quand j'ai peur de la mort, quand on oublie
quand tu me regardes, quand tu ne me vais pas
on cultive
quand les autres rient, quand les autres pleurent
quand je suis l'envie, quand tu es Miller
on cultive
quand les choses avancent, avancent...
on sème
L'enfance --- Deuxième Acte
le vent
lentement
vient couvrir le ciel d'oboles
comme un drôle de sentiment
qui pleure
les rires
des soeurs
comme un salaud
parle moi
terre des nôtres
parles à ceux
qui vibrent encore
manger
la chair
pêcher à mort
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie qu'on pouvait caresser
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie, c'est un mode dépasse
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie qu'on pouvait caresser
le vent
lentement
parle à celles que l'on ignore
comme un cri intérieur
dehors c'est la lumière
qui nous cache fort
parler encore
marcher encore
frôler encore
toucher encore
le vivre encore
Puisqu'on n'est pas morts
elle lui manque tellement
la rage d'aujourd'hui
crachée sur autrui
maintenant
il lui en veut tellement
qu'elle lui réponde
sa fadeur féconde
le sang
il en lâche tellement
de haine à leur trousse
que ces armes le poussent
à cran
il s'en veut tellement
de tuer le monde
que les morts le grondent
Los créditos al Sr. Wirrak, ya que las copié de él cuando las puso la otra vez.
c'est une époque formidable
on parle tout seul
on vit sur les écrans
par la chaleur, on se cache
on meurt tout seul
on oublie ses parents
samedi soir en pagaille
le diable au corps
la douche pour oublier
tous ces traits se fixent au fond
on fuit encore
la semaine pour assumer
ravale l'amérique
ils sont loin
ils sont loin de nous
c'est le début d'autres siècles
on vit encore
on marche avec nos pieds
comme avant, le coeur y est
on tue encore
pour l'amour des enfants
on ne prêche que ceux qui croient
la guerre décore
pour soigner le dedans
c'est la marche avant les autres
on crie encore
on baise pour oublier
ravale l'amérique
ils sont loin
ils sont loin de nous
c'est une époque formidable
on parle tout seul
on vit sur des écrans
c'est la marche avec les autres
on crie encore
on baise pour oublier
on baise pour oublier
alors autrant se le rappeler
Palatina
elles sempblent tellement loin
les prairies vertes
où sourit l'essence noire
de ceux qui en ont besoin
perdu
au fond de mon lit
je cache au moins
deux, trois cadavres nus
palatina...
elle sent le cellophane
elle ne pousse même plus
ou en diagonale
en parler est profane
j'y touchais quelque temps
la terre est sur ma peau
ce jardin fut le mien
je suis ceux qu'on condamne
y penser pur nous panser, tant qu'on s'y perd,
on se retrouve espérant au plus profond de nos soupirs
on peut se prendre pour des hommes presque heureux de leur sort
rien qu'en l'imaginant, ça suffit puor se dire
que le bonheur existe, même si c'est en prose,
la fuite est ridicule alors on court, on va et on y vient.
on se questionne sur le bonheur, comme des cons.
mais toi, tu crois quoi? que je vais mieux? mais tu m'as vu?
sache que je n'ai pas changé.
au fond, tu crois quoi? au juste? aux choses? aux gens?
à la même chose que moi...
palatina
Ma Violence
je ne pensais pas
avoir besoin
d'autre que moi
pour me faire du mal
comme un grand
je dessinais
l'enfer
à ma fenêtre
chaque choix
chaque nouvelle
comme une ironie
laissait du sang
toutes les pièces
d'un jeu d'enfant
tombaient
au fond de moi
une à une
puis te voilà
j'aurais cru voir le ciel
ave maria
je te saluais si bas
mais tu as su montrer
le pire en toi
tu es la peste
tu es le cholera
et il faudra
m'arracher la mémoire
comme on arrache des dents
comme ton sourire
dieu jugera les siennes
si seulment il existait
alors je t'oublierai
et avant, j'arracherai les tiennes
une à une
Finir à Paris
premièrement
regarder bien en face
en suivant
se la jouer moins sauvage
comme des chiens
comme des hyènes
ils encerclent
ils attaquent
convoiter
pourchasser
je préfère vomir
alors je pars comme on en pleure
on vit la même peine comme la seule issue
la même fuite en nous
parallèle
deuxièmement
la vue des autres agace
c'est le temps
que panse et qui efface
quand c'est l'heure
il est temps
d'accepter
avaler
un voyage
le dernier
pour toutes une fois, finir
pars comme on en pleure
on vit la même peine comme la seule issue
la même fuite en nous
parallèle
on poura finir à paris, comme les romans
comme les monuments, ceux qu'on avait pas fini de visiter
finir à paris, comme la seule histoire qu'on voulait écouter.
Laisse Moi Me Perdre
Il est de ces soleils
qui naissent ente les pierres
là où coule l'eau noire
le goudron et la bière
il est de ces soleils
qui naissent sans espoir
et ces rayons réchauffent
les chairs trop confortables
la peau qu'on croit trop blanche
et la voix trop aimable
et ces rayons réchauffent
le temps gris des dimanches
c'était là qu'on habitait
l'air y était plus ferme
la terre plus pure que d'autres aujourd'hui
c'est des routes qu'on dessinait
peintes de mille manières
avec la sueur, les larmes, presque rien
laisse-moi me perdre
laisse-moi chercher
peut-être vivrai-je seul
peut-être mieux du mauvais côté
laisse-moi faire
laisse-moi la clé
des portes ouvertes ensemble
peut-être saurai-je me retrouver
seules quelques lumières
rêvées le long des ombres
au bord de rues humides
au milieu des décombres
seules quelques lumières
sous quelques pluies acides
il et de ces mirages
qu'on voit en plaine vie
ivre de plaine conscience
dans la foule et le bruit
il est de ces mirages
qui défient la défiance
c'est moi que disparaissais
aux couleurs de l'espagne
le rouge, c'était ton sang comme le mien
c'est là que s'est arrêtée
la vie dont tout le monde réve
que tout le monde sait salir aussi
laisse-moi me perdre
Mourir
mourir
en faire juste une étape
comme un désir
ancien de fuir les larmes
en finir
pour le bian de quelqu'un
courir
pour éviter les armes
sentir
tout les poids que l'on lâche
comme le meilleur
moment de fuir ses instincts
rèver à
s'en aller sans fièvres
comme un avant, comme un après
dans la même calme
idée
criore à la vie sans l'autre
comme au surnaturel
comme aux guerres sans morts
pusser
le vice du fon de coeur
sans gangrène
s'amputer soi-même
d'une vie a l'autre
essayer d'en partir
essayer d'y aller
essayer, revenir
essayer, d'essayer
De La Non Nécessité du Courage
c'est bien avant l'orage
que j'ai revu la pluie
ruisseler sur mon corps
couvrir ma peau de perles
comme les vagues qui déferlent
à l'est, à l'ouest, au nord
du find de mon esprit
du plus profond des âges
parcourir les nuages
avant qu'il ne fasse nuit
que vienne notre mort
l'entropie des idées
la fin de l'être aimée
pour revenir plus fort
échouer de vie en vie
réussir sans courage
je ne promets rien
qui ne promet rien
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux désillusions
qui ne sourit pas
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux affusions
qui ne promet rien
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
aux désillusions
qui ne sourit pas
donne quelque chose
à ceux qui s'opposent
á trop de vibrations
trop de vibrations
je ne promets rien
On Sème
je pourrais comme d'autres, vomir des états d'âmes
cracher le fiel des anges
je pourrais comme ta colère éclater sur des portes closes
à faire tomber les murs
ad vitam eternam
tu pourrais comme d'autres rester en la demeure d'obscurs faiseurs de sorts
les parents de ta soeur
tu puorrais comme avant user la corde raiderecoir la vie en rouge
sans trouver de remède
ad vitam eternam
on pourrais pour longtemps recommencer la ronde des onomatopées
que le silence féconde
on pourrais pour autant dire que c'est tout juste si les mots refleurissent
se relèvent les bustes
on cultive des fruits dont le goût est amer
dont la chair est sucrée, qu'on sait insaisissables
on refait des objets qu'on ne savait plus faire
qu'on fait sans toucher terre pour s'en croire capable
quand je pense à hier, quand il fait froid dehors
on cultive
quand je pense à l'été, quand tu cries un peu fort
quand je me donne en spectacle, quand tu pleures
on cultive
quand tu me fais mal, quand je compte tes heures
quand on est innocent, quand on est coulpable
on cultive
quand j'ai peur de moi, quand j'en suis capable
quand tu ne bandes pas, quand je claque la porte
on cultive
quand on ne se comprend pas, quand je te frappe
quand on se trompe, quand je pars
on cultive
quand tu tombes, quand on se rattrape
quand je tremble, quand tu m'envahis
on cultive
quand j'ai peur de la mort, quand on oublie
quand tu me regardes, quand tu ne me vais pas
on cultive
quand les autres rient, quand les autres pleurent
quand je suis l'envie, quand tu es Miller
on cultive
quand les choses avancent, avancent...
on sème
L'enfance --- Deuxième Acte
le vent
lentement
vient couvrir le ciel d'oboles
comme un drôle de sentiment
qui pleure
les rires
des soeurs
comme un salaud
parle moi
terre des nôtres
parles à ceux
qui vibrent encore
manger
la chair
pêcher à mort
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie qu'on pouvait caresser
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie, c'est un mode dépasse
parle moi encore
car je n'oublie pas
ceux que nous étions
la vie qu'on pouvait caresser
le vent
lentement
parle à celles que l'on ignore
comme un cri intérieur
dehors c'est la lumière
qui nous cache fort
parler encore
marcher encore
frôler encore
toucher encore
le vivre encore
Puisqu'on n'est pas morts
elle lui manque tellement
la rage d'aujourd'hui
crachée sur autrui
maintenant
il lui en veut tellement
qu'elle lui réponde
sa fadeur féconde
le sang
il en lâche tellement
de haine à leur trousse
que ces armes le poussent
à cran
il s'en veut tellement
de tuer le monde
que les morts le grondent
Los créditos al Sr. Wirrak, ya que las copié de él cuando las puso la otra vez.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Wirrak escribió:Lo de la versión será en función de si haces el preorder solo de este ep o has hecho ya el de los tres, que supongo que la caja será distinta para que puedas meterlos. Imagino un rollo parecido al Mesmerize/Hypnotize de SOAD.
Yo hice el preorder de los tres y el Barcelone es un cd normal y corriente de cartón.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
TechnicolorXavi escribió:Los créditos al Sr. Wirrak, ya que las copié de él cuando las puso la otra vez.
¡Albricias! Qué bueno que vini'te!!
Están copiadas tal cual del libreto, por eso no hay mayúsculas.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Gracias bros!! me sirven de mucho!!
I'm on my way to hell.
Re: AGORA FIDELIO: Bagdad (Les Illusions d'une Route)
Sí, que faltan dos meses jajaja.
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